Wednesday, June 28, 2017

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Vladivostok : Neiges et moussons

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Détails sur le produit

  • Rang parmi les ventes : #636925 dans Livres
  • Publié le: 2011-04-07
  • Langue d'origine:
    Français
  • Nombre d'articles: 1
  • Dimensions: 5.51" h x
    .59" l x
    8.07" L,
  • Reliure: Broché
  • 200 pages

Commentaires clients

Commentaires clients les plus utiles

1 internautes sur 1 ont trouvé ce commentaire utile.
3Un récit de voyage sédentaire
Par C.Volland
Le livre est bien écrit, mais pas transcendant non plus on est vraiment un cran en dessous de Sylvain Tesson qui en fait la préface. Certes on apprends des choses sur cet extrême orient Russe très mal connu, la lecture est aisée et agréable on passe un bon moment et le style est quand même plus travaillé que celui d'un blog, comme je l'ai lu dans de précédents commentaires . Mais au fil des pages le récit devient un peu redondant, reproche que je faisais déjà sur "l'hiver aux trousses" du même auteur. Il ne se passe pas grand chose dans ce récit de voyage que je qualifierais de sédentaire, et le livre déjà pas très long aurait pu être avantageusement réduit au 1 tiers.

5 internautes sur 6 ont trouvé ce commentaire utile.
2blog rockin' bits
Par sholby
Un précédent commentaire a évoqué comment ce récit pouvait évoquer un blog et pour moi, c'est exactement ça : décousu. C'est une suite d'impressions instantanées, ou même d'instantanés impressionnistes, classés sans vraie conviction à l'intérieur de cinq saisons. L'auteur écrit de façon assez claire et élégante (avec quelques écarts peu compréhensibles), ce qui pourrait rendre ces vignettes et ressentis agréables à lire au fil du temps, au hasard d'une mise à jour de flux RSS.Mais il s'agit ici d'un recueil, et même s'il est peu épais, l'enthousiasme que peut suggérer la préface cède bientôt le pas à un ennui doucereux. Au fond, on ne voit pas trop où Cédric Gras veut en venir, tout cela semble manquer à la fois d'une vision claire et de conviction. Et je dois dire que les 4 pages initiales de Sylvain Tesson m'ont semblé en dire infiniment plus, et infiniment mieux, que les presque deux cents qui s'ensuivent. Pour ma part, une déception. Il vaudra mieux, dans le style récit de voyage subjectif, se reporter au Kampuchéa de Patrick Deville. Ou en ajoutant une touche de romantisme, aux déjà anciennes, mais toujours aussi étonnantes et marquantes, BD de Frédéric Boilet, Love hotel et Tokyo est mon jardin.

2 internautes sur 3 ont trouvé ce commentaire utile.
5beau livre !
Par Gabrielle
écriture simple voire familièreL'auteur, jeune universitaire et diplomate, fait le récit de son exploration de Vladivostok et de sa rencontre avec les habitants. Il a à coeur de comprendre la région et donne à voir sa géographie, les rêves de sa population, notamment étudiante, et ses relations avec le reste du monde : Moscou le pôle d'attraction, la Chine voisine et redoutée, la Corée du Nord, le Japon des affaires. C'est après avoir déjà beaucoup voyagé que l'auteur se retrouve un beau jour à Vladivostok. Dans Vladivostok, neige et moussons, il raconte ses séjours en Russie, plus exactement dans cet Extrême-Orient russe, et dans cette ville, selon le rythme des saisons, prétextes à des descriptions de la nature, des éléments naturels, en même temps que des portraits et un regard sur la culture et les modes locales. « Certains hommes ont éprouvé, en descendant du train ou de l'avion sur une terre étrangère, le sentiment d'arriver chez eux » écrit Sylvain Tesson dans la préface. Pourtant, Vladivostok - que chacun d'entre nous a toute les chances de ne pas situer correctement sur une carte - ne ressemble à rien de ce que Gras attendait. « Vladivostok, ce n'est pas le Grand Nord, c'est l'Extrême-Orient, et c'est presque méridional. » Le bord asiatique d'une Russie qui se voudrait européenne. Une sorte de zone intertropicale remplie de Toyota et de bus coréens. « A Vladivostok, on sent à peine l'odeur des embruns. La ville ignore les rouleaux, les marées et les écumes. Sans les mouettes, on aurait peine à entendre la mer. »Deux extraits : « Je suis parti seul, cela va de soi. C'est sur la route que se rejoignent ceux qui veulent la parcourir. » et « L'important n'est pas le voyage, car immanquablement vous revenez au port, ce port que vous vouliez quitter. Ce qu'il faut, c'est un voyage sans itinéraire, un point seulement et non une ribambelle de punaises américaines reliées par un tracé noir sur une carte du monde. »

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